Affiche Festival De Limage 2025Affiche Festival De Limage 2025
©Affiche Festival De Limage 2025

Découvrez les exposants et les finalistes du concours photo du Festival de l’Image

Publié le 30 juin 2025

La 6e édition du Festival de l’Image aura lieu du 17 au 20 juillet 2025.

Ce festival met à l’honneur les photographes et la nature. Concours photo, masterclass, sorties nature, conférences et exposition sont au programme.

EXPOSITION

Voici les 13 exposants retenus :

·         Nicolas Raspiengeas « Chasseur de rêves »

·         Julie Freschi « Sous le ciel alpin »

·         David Guerre « Lumières nocturnes »

·         Alexandre Chion « Rendez-vous sauvages »

·         Marion Pasquette « Belles de nuit »

·         Estelle Vincent « L’Antarctique à contre-jour »

·         Carole Tauziat « Aquarella »

·         Solène et Gaël Lacroute « Gypaète barbu : de l’ombre à la lumière, le retour d’un géant »

·         Clément Fontaine « Terre de jaguars »

·         Marc Lelièvre « Les Écrins vus du ciel »

·         Thibault Lathière « Ouvre les yeux, c’est la nuit »

·         Clotilde De Swarte « HIMAL »

·         Fabrice et Teddy – asTroFeeling « Levons les yeux »

 

Les biographies des photographes et descriptions de leurs expositions sont à retrouver ICI.

 

CONCOURS PHOTO

Cette année, le thème du concours photo est : l’interaction.

L’interaction est une action ou une réaction réciproque d’un phénomène ou de plusieurs systèmes physiques.

Ce thème assez vaste permet à tous type de photographe de participer, de l’urbain à l’animalier, en passant par le paysage et autres styles photographiques.

Voici les 5 sélectionnés pour cette édition 2025 :

Jean-Pierre Gaillard (couleuvres) :

« Au retour d’une promenade, nous sommes tombés sur un couple de couleuvres en pleine « interaction ». Nous nous sommes arrêtés à bonne distance et les avons laissées finir. Ce fut assez rapide : juste le temps de s’agenouiller, de faire quelques réglages rapides et de prendre une série de photos. Une fois parties, nous avons repris notre chemin. Pour la petite histoire, je crains (injustement) un peu ce genre de reptile, ce qui me vaut quelques moqueries de collègues photographes. Et bien sûr, c’est toujours moi qui tombe dessus, au grand dam de mes collègues ! J’ai choisi d’en faire un développement simple jouant entre ombres et lumières sans superflu pour faire ressortir ces deux reptiles. »

Claudine Thimister (huppes) :

« Huppe fasciée. Photo prise en affut mobile en mai dans la réserve naturelle de Kiskunsagi, Hongrie. »

Bernard Pignolo (éléphants) :

« En Namibie, près d’un point d’eau des familles d’éléphants viennent se rafraichir. C’est également un moment de démonstrations affectives dans un entrelacement de trompes. Canon EOS 7D Mark II – Canon EF100-400mm – 248 mm »

Pascal Lumbroso (tétras lyre) :

« Combat de coqs tétras lyre chez nous en Isère : après une phase d’intimidation, le combat devient rapide et violent, les coqs essayant de piquer leur adversaire et de lui arracher des plumes. Dans le but de ne pas déranger, j’ai dormi dans un affût photo installée la veille au soir sur une place de chant repérée il y a déjà plusieurs années ; la sortie de la tente et son démontage se font tard dans la matinée, quand plus aucun chant ne résonne. »

Isaure Joly (mains) :

« La photo, capturée en noir et blanc, révèle un moment empreint de douceur et de tendresse. Dans cet instant suspendu, la main d’une soignante se tend délicatement vers celle d’une résidente, un geste simple mais profondément humain, comme une promesse de réconfort et d’accompagnement. Les doigts de la soignante, fermement posés sur la main fragile de la résidente, symbolisent un lien silencieux mais puissant, un échange silencieux d’empathie et de soutien. Le contraste subtil du noir et blanc accentue la texture de la peau, les rides qui racontent l’histoire du temps et des vies vécues, et les veines visibles qui tissent la toile du passage des années. La lumière tamisée qui éclaire la scène semble caresser la peau, insufflant une chaleur douce dans cet échange simple mais essentiel. L’arrière-plan flou, une pièce calme de l’EHPAD d’Airaines, dans la Somme, met en avant ce moment intime, loin de l’agitation du monde extérieur, soulignant l’importance de ce contact humain. L’absence de tout autre détail visuel concentre l’attention sur les mains, ces symboles de la confiance et du soin mutuel, et le geste silencieux qui incarne toute la bienveillance du quotidien en EHPAD. Ce cliché est bien plus qu’une simple photo de la vie en établissement. Il capture l’essence de l’interaction humaine dans un cadre de soin, une scène simple mais poignante qui parle de solidarité, de tendresse et de la puissance silencieuse des gestes quotidiens. Dans cette image, l’art de la photographie et l’humanité se rejoignent, offrant un témoignage visuel d’une relation profondément respectueuse et réconfortante entre deux individus. »

 

Les finalistes seront exposés sur site pendant l’événement.

 

> Le Festival de l’Image du Dévoluy a pour but de mettre en valeur la vision personnelle et artistique des photographes, au travers des clichés, et également de faire découvrir la photo et de sensibiliser à l’environnement le public, d’une manière plus ludique et artistique.

Le programme est varié avec des masterclass, expositions, conférences, réparation de matériel avec Photo ciné réparation, sorties nature, etc.

Toutes les informations de l’évènement sur www.festival-image-devoluy.com et sur les réseaux sociaux du Dévoluy.

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